Dans un article daté du 4 janvier 2016, Le Monde Afrique signalait « malgré Boko Haram dix bonnes nouvelles pour l’Afrique » pour l’année écoulée. La sixième était, après plusieurs années de disette, la remise du prix de champion de la gouvernance à l’ancien président de Namibie par le milliardaire Mo Ibrahim, président de la fondation éponyme qui a développé un indice pour la promotion de la bonne gouvernance en Afrique.

L’Histoire serait-elle un éternel recommencement ? Sans céder au démon de l’analogie en Histoire, nous réfléchirons, sur les liens étroits qui, depuis la fin du XIXe siècle jusqu’à nos jours, unissent les crises politiques des libéralismes et l’émergence des populismes.

Université Paris Descartes, PHILéPOL Sorbonne, Amphithéâtre Durkheim  (Entrée par le 1 rue Victor Cousin ou le 14 rue Cujas,  Galerie Claude Bernard, escalier I, 1er étage) Vendredi 5 février 2016 de 9h à 17h

Quel regard portez-vous sur les terroristes qui ont agi le 13 novembre 2015 ?

Pour moi, il est très clair qu’il s’agit de mouvements fascistes. Souvenons-nous que les fascistes espagnols criaient : « Viva la muerte ». L’essence du gouvernement fasciste, c’est la terreur.

Pourquoi c'est important

La maltraitance managériale dans les organisations professionnelles privées comme publiques fait des ravages, humainement et économiquement. Le déni social, politique, du Conseil de l'Ordre des Médecins comme de l'Assurance Maladie elle-même redouble cette violence.

Par Roland Gori, à lire dans Libération