Conférence autour de "La nudité du pouvoir", le 6 juin dernier à La Carmagnole, Montpellier.

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Un suicide et une tentative de suicide sont survenus au cours du dernier mois chez des patients de la clinique externe de psychiatrie de l’Institut universitaire de santé mentale de Québec (IUSMQ). Bien qu’aucun lien ne puisse être établi, les deux désespérés étaient orphelins de psychiatre traitant, à l’instar de près de 600 autres patients de la clinique, a appris Le Soleil.

Roland Gori, Hélène Fresnel, Richard Martin

Trois concepts balisent le champ du politique : autorité, pouvoir et domination. L’autorité accroit les possibilités d’agir. Le pouvoir et la domination les limitent. Le pouvoir détient cette capacité d’influencer le comportement d’autrui en méprisant sa volonté. Il est l’antithèse de la liberté. Perfide et insidieuse, la domination contraint en requérant l’acquiescement de la personne dominée. À l’occasion de la sortie de son dernier ouvrage, Roland Gori nous interroge. Où en sommes-nous aujourd’hui en politique ? Hélène Fresnel présentera des extraits de son excellent documentaire : Le pouvoir nuit-il gravement au cerveau ?

                   

Coeur de boxer

 Cœur de boxeur revient, dans le détail, sur « l’affaire Christophe Dettinger », du nom de ce « boxeur gitan » qui a brutalisé des gendarmes mobiles, à Paris, le 5 janvier 2019, lors de l’Acte VIII des Gilets jaunes. Affirmant qu’il a défendu une dame violemment frappée, au sol, par les forces de l’ordre, l’ex-cham­pion de France de boxe anglaise est devenu le symbole de la révolte contre les violences policières, de la résistance à la dérive monarchique d’Emmanuel Macron, mais aussi de la « décence commune », si chère à George Orwell, opposée à l’indécence extraordinaire des puissants.

 

 

Cher public, chers amis,

Le Théâtre Toursky entre en résistance active contre la politique culturelle de la Ville de Marseille qui, au lieu de soutenir davantage le Toursky comme Monsieur Gaudin l’avait publiquement annoncé, ne cesse depuis de nous réduire de façon drastique et assassine le montant de la subvention allouée à notre théâtre.

Par Roland Gori, à lire dans Libération