Automne 1925, Odessa.

Eisenstein filme l’écrasement en 1905 d’une révolte populaire, prémisse de la révolution russe d’octobre 1917. D’abord accablée, puis révoltée par la mort d’un marin, la foule crie vengeance et réclame justice. La riposte est sans pitié. Les cavaliers cosaques chargent la foule, et écrasent la rébellion dans le sang. La révolution patientera encore douze ans.

A lire sur le site des Inrocks

Dans son nouvel essai, “Un monde sans esprit, la fabrique des terrorismes”, Roland Gori appelle à l’invention d’un “pacte d’humanité“, où l’art occuperait une place centrale, pour échapper au vide spirituel du néolibéralisme.

Un article du journal Libération.

Propriété historique de la fédération CGT des métallurgistes, l’établissement parisien est le théâtre d’un conflit à front renversé : mardi, les salariés ont fait grève pour leur directeur, et contre le syndicat.

«Les terroristes appartiennent toujours à leur époque, ils ressemblent davantage à la civilisation qu’ils combattent qu’à l’idéologie dont ils se prévalent. L’État islamique ne fait pas exception.»

A la Salle Blanche de la librairie Kléber de Strasbourg
le Samedi 07.01.2017 de 10h à 16h30

Par Roland Gori, à lire dans Libération