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Un ancien directeur d'école nous a fait parvenir la lettre de démission qu'il vient d'envoyer à l'inspecteur d'académie de l'Essonne. Il y explique ne plus avoir sa place au sein d'un système éducatif qui n'a que faire d'une pédagogie respectueuse de l'enfant.
Alors que le président de la République s'apprête à proposer, avec la «règle d'or» une nouvelle défaite du politique subordonnée à la gestion comptable des affaires publiques, André Bellon (1), Roland Gori (2) et Philippe Petit (3) en appellent à une pacifique «guerre d'indépendance par rapport à la colonisation par le capitalisme financier de tous les champs de l'existence, bien au-delà du champ de l'économie.»
"Aux pouvoirs publics de prendre leurs responsabilités et d'anticiper ce que l'on voit arriver" comme "l'arrêt commercial pour raison économique touchant des produits indispensables et sans alternative", a déclaré jeudi à l'AFP le Dr Laurent Jouffroy, président de la SFAR.
"Qu'elles soient liées à des pénuries temporaires ou à la décision des laboratoires de cesser la fabrication, les ruptures de stocks des médicaments d'anesthésie-réanimation sont récurrentes depuis plusieurs années" et le phénomène "s'intensifie", s'insurge cette société savante avec le soutien de l'association de défense des malades Le Lien.
LA RÉPUTATION DES BLUETS n'est plus à faire. Les femmes se bousculent pour venir accoucher dans cette maternité de l'Est parisien où les places se réservent plus de huit mois à l'avance. Elles viennent chercher auprès des équipes héritières de la méthode d'accouchement sans douleur (ASD) - mise au point en 1951 dans les anciens locaux de la rue Jean-Pierre-Timbaud (Paris 11e) - un accompagnement plus humain, moins médicalisé, et pour certaines, des plus naturels. Les soignants ont ici leurs principes. L'allaitement maternel est une priorité, le respect du rythme du nouveau-né, aussi. Cette charte, défendue par l'ensemble du personnel, a permis à la maternité de recevoir le label " Ami des bébés ", créé par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et l'Unicef. Elle est la seule en Ile-de-France, et du coup l'affiche fièrement dans le hall.
Expulsé le 4 mai, Ardi, 15 ans, meurt à petit feu, au Kosovo, privé de la prise en charge spécialisées inexistantes dans son pays. Les autorités françaises, celles qui ont pris la décision d’arrêter sa famille, d’arracher Ardi à l’établissement qui l’accueillait et de les expulser par avion spécial en 24 heures, et l’appareil d’état au plus haut niveau, refusent d’autoriser son retour.
Par Roland Gori, à lire dans Libération
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