Roland Gori, à distance des techno-phobies réactionnaires, analyse les impensés subjectifs, sociaux et politiques des usages des nouvelles technologies numériques. Il montre que l’humain, aujourd’hui, en « mangeant » du numérique, son langage, sa grammaire où la forme et la syntaxe prévalent sur le sens, façonne sa subjectivité. L’ addiction à communiquer tend à récuser la place et la fonction de l’Autre. Hyper-connectés mais isolés, l’homme néolibéral se trouve ainsi exposé au risque d’un nouveau totalitarisme. Conférence organisée par l'Association des Droits de l'Homme de la Sorbonne (ADHS), le 28 février 2018.

Depuis des années l'épithète extrême droite fait débat au sujet du Front national. Avec des points de vue divergents selon les chercheurs, historiens ou journalistes. Voici, avant un congrès dit de "la refondation", les avis de Marine Le Pen, de son père et de Florian Philippot. Conclus par celui du psychanalyste Roland Gori.

Le jeudi 15 maes à 19h au Toursky, Marseilles.

Avec Roland Gori, professeur émérite des Universités, psychanalyste, Bernard Lubat, compositeur et musicien, Charles Silvestre, journaliste et vice-président des Amis de l’Humanité et Richard Martin.

La conception de service public s’est progressivement élaborée depuis la fin du XVIIIème siècle. Elle correspond à l’émergence de la notion d’intérêt général, mais aussi de la représentation d’un bien commun. Le service public est-il aujourd'hui un bien commun à préserver ? On en débat...

Université Paris I, Amphithéâtre III, Mercredi 28 février 16h30.

12 place du Panthéon, Paris 75005

Organisée par l'Association des Droits de l'Homme de la Sorbonne (ADHS)

Par Roland Gori, à lire dans Libération