Le 12 mars au cinéma Les Trois Luxembourg, à Paris.

Aujourd'hui nous vivons dans un monde où la logique de rentabilité s'applique à tous les domaines. Les lieux dédiés aux métiers du soin, du social, de l'éducation… sont gérés par des managers ou des experts pour qui seul comptent les chiffres, niant les besoins humains. Le psychanalyste Roland Gori se bat depuis des années contre le délitement de notre société. Ce film est un portrait de sa pensée, de son engagement.

Samedi 5 mars à 11h à La Machine à Musique - Lignerolles
 
 
Après La fabrique des imposteurs et Faut-il renoncer à la liberté pour être heureux ? (éditions Les liens qui libèrent), Roland Gori nous invite dans ce nouvel essai à changer nos habitudes, à concevoir de nouvelles croyances et de nouvelles utopies, afin d’éviter le contrôle de la société d’information.

Roland Gori est psychanalyste et professeur honoraire  de psychopathologie clinique  à l’université Aix-Marseille. Il est le fondateur et président du mouvement social l’Appel des appels.

La rencontre sera animée par Christian Mallaurie.
 

                                                         

Servitudes

Dans nos sociétés de contrôle, l’information est le moyen privilégié de surveiller, de normaliser et de donner des ordres. Les informations, molécules de la vie sociale, deviennent les sujets de l’existence, les vé-ritables cibles des pouvoirs politiques et économiques. Avec le langage numérique, les subjectivités se trouvent enserrées dans un filet de normes de plus en plus denses et contraignantes. Les idéologies scientifiques viennent souvent légitimer ce « naturalisme économique » transformant le citoyen en sujet neuro-économique et son éducation en fuselage de ses compétences en vue des compétitions à venir.

Tschann Libraire
a le palisir de vous inviter à rencontrer
Roland Gori
pour son livre
La fabrique de nos Servitudes
éd LLL
etClotilde Leguil
pour son livre
Céder n'est pas consentir
éd PUF

Janvier 2022

 

Depuis bientôt 2 ans, nous, personnels de l’Éducation nationale, mettons toute notre énergie, notre créativité, et notre professionnalisme à maintenir et préserver les liens entre les familles et l’école afin que les élèves puissent bénéficier d’une continuité dans leurs apprentissages.

Par Roland Gori, à lire dans Libération